Retour sur celles-ci à l'occasion du 24 avril qui représente la Journée mondiale des animaux dans les laboratoires.De nombreuses méthodes permettent de réduire le nombre d'animaux utilisés pour la recherche.Les chercheurs ont déjà réussi à reproduire plusieurs organes sur une puce dont par exemple les poumons. Il arrive néanmoins que des refuges vendent leurs laissés-pour-compte pour la recherche ou les tests. Pour toutes ces raisons donc, la très grande majorité des expérimentations animales se font sur les rongeurs, même s’il existe d’autres animaux utilisés comme organismes modèles.Les institutions scientifiques affirment la nécessité d’avoir recours à cette méthodologie pour Une première approche consisterait à remplacer les animaux Notons tout de même que cette méthode s’appuie sur des Depuis quelques années, des chercheurs commencent à L’idée serait ici de mettre en place des tests contrôlés assurant de ne pas mettre en danger la santé humaine. Ce sont des actions plus modérées, opérant sur le long terme, et qui ne convainquent pas les plus pugnaces.Il existe plusieurs fondations ou instituts consacrés à la recherche de solutions alternatives aux expériences sur les animaux. Conformément à la loi informatique et liberté du 6 janvier 1978, mise à jour par la loi du 6 août 2004, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification et d'opposition aux données vous concernant en écrivant à l'adresse abonnements@sciencesetavenir.fr© Sciences et Avenir - Les contenus, marques, ou logos du site sciencesetavenir.fr sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle. Quand l’animal ne meurt pas des effets directs de la procédure, il est euthanasié. Il semblerait que ce soit effectivement possible dans certains domaines de recherches, comme la Mais dans d’autres domaines de recherches où les mécanismes en jeu sont plus complexes, les modèles animaux restent à ce jour Il existe donc plusieurs alternatives. Mais pour l’heure, aucune n’est assez avancée pour éradiquer de manière définitive les tests sur les animaux. Vous apprendrez des notions fondamentales sur les animaux et des techniques spécifiques qui vous amèneront à développer de forts atouts dans Chaque année dans le monde, ce sont entre 50 et 100 millions de vertébrés qui sont utilisés. Autre avantage à leurs yeux, par rapport au cobaye humain, ils peuvent maîtriser totalement l’environnement de leur sujet d’étude : alimentation, température, éclairage, etc…Dernier pion avancé sur l’échiquier du débat éthique : les animaux vivent parfois bien moins longtemps, ce qui permet de réaliser des expériences portant sur toute leur vie, voire sur plusieurs générations.Les associations de protection des animaux, de leur côté, avancent presque toutes les mêmes arguments contre la vivisection.

400 chercheurs signent une tribune dans Libération pour dénoncer les caricatures dont fait l'objet la recherche scientifique sur la question de l'expérimentation animale. Pourtant, l’expérimentation animale n’est pas seulement archaïque et cruelle pour les animaux, elle est aussi beaucoup plus chère à moyen terme. Plus rarement, des spécimens sont aussi prélevés directement dans la nature. Le poumon sur une puce (Les tissus de la peau ne sont pas les seuls à avoir été reproduits en laboratoire. LES TECHNIQUES ALTERNATIVES À L'expérimentation animale les plus prometteuses Ces organismes choisissent la voix du milieu entre les partisans et les plus farouches opposants : ils ne se déclarent pas contre l’expérimentation animale, mais pour de nouvelles techniques qui la remplacent.
Les chercheurs ont entre autres développé des tissus oculaires ou encore l'épithélium intestinal. Ces organismes choisissent la voix du milieu entre les partisans et les plus farouches opposants : ils ne se déclarent pas contre l’expérimentation animale, mais pour de nouvelles techniques qui la remplacent. Comme son nom l’indique, le principe consiste à proposer à un cobaye humain un nouveau traitement en quantités infimes. Décriées depuis de nombreuses années par les défenseurs des animaux, ces expériences dites « in vivo » sont encore largement utilisées dans la recherche biomédicale, les tests de toxicité des produits et l’éducation. Son travail est fondé sur le principe des trois ‘R’ : remplacement, réduction et « raffinement » (refinement en V.O).D’ici 2013, l’expérimentation animale pour des produits cosmétiques sera interdite en Europe.