L’ère féodale des walis, qui après avoir ruiné des wilayas sont souvent mutés dans d’autres wilayas pour faire la même chose, a touché sa limite de l’acceptable. À la MC93 de Bobigny en Seine-Saint-Denis, le 17 juin 2019, Mediapart a organisé un événement de soutien au peuple algérien avec plusieurs médias du pays : El Watan, RadioM et Maghreb Emergent. Qui limoge les walis ? Nouvelle version, en meilleure qualité, de notre soirée en soutien au peuple algérien. Samedi 24 avril 2010, dans son billet quotidien dans le journal El Watan, Chawki Amari intitule son commentaire : “ Le MAK ? Saïd Salhi (vice-président de la LADDH) elle n'est pas des plus fines.
L'évocation de la ville blanche est à mettre au crédit de l'auteur qui en parle somptueusement. Trompe-t-on l’Etat quand on trompe sa femme ? C’est grave, très grave ! Le journal s’interroge si ce verdict, sans commune mesure avec les faits reprochés, n’est pas motivé par une volonté de museler le journal et s’il n’est pas aussi un signal fort à l’ensemble des médias pour qu’ils restreignent leur liberté de critique et de ton dans une conjoncture de crise aux plans politique, économique et social. Un paradoxe social que l'on trouve aussi bien dans les entreprises, les quartiers et les pays que dans le tréfonds de l'âme humaine et qui gêne toute marche vers le progrès.
Qui dit mieux ? En poursuivant la navigation vous en acceptez le fonctionnement Hacen Ouali (journaliste politique à El Watan) Quand le bandeau d'un livre vous affirme : « Une fable rocambolesque à l'imaginaire débridé. En effet, l’auteur, journaliste et chroniqueur d’El Watan, Chawki Amari est invité par l’équipe du MOE, il y a deux semaines, à l’occasion de la parution de son roman « L’Âne mort » aux éditions de l’Observatoire. Hanane Semane (activiste féministe, Alger et Paris)
Scandale, avis de recherche, fuite et quiproquo dans une ville d'Alger qui obéit à ses propres règles. Le contre-pouvoir judiciaire et policier étant ce qu’il est, c’est-à-dire un simple soldat du pouvoir exécutif, le mystère est aussi obscur que la question de l’origine du monde ; est-ce le système qui a créé la corruption ou la corruption qui a fabriqué le système ?
le poids des ans, pardon le poids des ânes ? En autorisant la mise au cachot de journalistes et en décidant de très lourdes amendes à leur encontre, la dernière de 4 millions de dinars frappant le correspondant à Jijel du quotidien Echourouk El-Youmi, la justice fait renaître des pratiques graves et déshonorantes que l’on pensait révolues. Il reviendra sur le caractère vicié de cette plainte et s’étonnera que le ministère public n’ait pas enquêté sur les faits, objet de la présente plainte, avant de rappeler les procès intentés par les ex-walis de Blida et d’El Tarf contre des journalistes avant d’être eux-mêmes incriminés.
Il est clair que la cour de Jijel, en plus du caractère excessif de la décision, a fait l’impasse sur les nombreuses irrégularités et violations de la loi qui ont fait l’objet d’un mémoire écrit, déposé en audience. Anis Saidoune (étudiant en médecine, Alger) Rejoignez Babelio pour découvrir vos prochaines lectures Pas celui de Jijel, mais celui du combat contre l’impunité des fonctionnaires désignés de l’Etat. Maître Zoubeir Soudani : « C’est une décision injustifiable » « La décision de la cour de Jijel vise manifestement à satisfaire au-delà du possible une partie au détriment de la liberté et du respect du droit à l’expression. ALGÉRIE . Pas forcément. Il y écrit que Ferhat Mehenni était “ à l’origine un guitariste. L'histoire est cocasse. Le dilemme des intellectuels, vu par l'écrivain Chawki Amari., Libération, 6 juillet 1998 ↑ « Omar Belhouchet et Chawki Amari condamnés pour diffamation », Couf-Chouf, 27 mars 2014 ↑ Pétition dans El Watan du 13 mars 2008 La cour d’appel de Jijel a rendu hier sa décision dans le procès en appel opposant le wali de Jijel au directeur du quotidien El Watan, Omar Belhouchet, et au chroniqueur Chawki Amari.
Un intellectuel n'étant qu'une personne qui a trouvé d'autres centres d'intérêt que le sexe ou la guerre. Qu'est-ce que la résistance au changement ? C’est avec le sarcasme pétillant qu’on reconnait que le chroniqueur d’El Watan, Chawki Amari, a présenté son dernier roman « Balak ». »C’est avec une profonde inquiétude qu’El Watan a accueilli le verdict de condamnation à deux mois ferme de Omar Belhouchet, directeur du journal, et de Chawki Amari, chroniqueur. Qui déclenche des enquêtes sur eux ? Les intervenants : Chronique de # Chawki_Amari, # Point_Zéro | El Watan | 21/07/2020 UN ISLAMISTE EST UN DÉMOCRATE EN PHASE DE DÉPRESSION Rachad, Zitout, Al Magharibiya, Amir DZ, autant de noms qui inquiètent ou sont admirés, avec en arrière-plan l’avancée de l’islamisme comme fonds de commerce sur le terrain de la contestation. Sarah Haydar (écrivaine, Alger) » (El Waram) pour « L'Âne mort » de Chawki Amari, on se dit que l'on va bien se divertir mais il y a le petit hic de cette pauvre bête qui n'est plus en vie. Karima Dirèche (historienne) Chroniqueur d’El-Watan et correspondant de Courrier international, Chawki Amari rentre dans son pays pour purger une peine de prison. Allant dans le même sens, maître Soudani, qui relèvera que tout ce qui est artistique est excessif, insistera sur la bonne foi des journalistes. Oui, mais un âne vivant est plus difficile à manier finalement, il résiste, rechigne, veut imposer sa marche, son cap, sa direction. C'est d'abord un ressort psychologique qui mène au constat suivant : si tout le monde veut des améliorations, personne n'accepte le changement. La chance » zher » a été le centre du débat lors de la conférence animée par Chawki Amari ce samedi au centre culturel d’Aokas.
C'est un curieux roman, déjanté et érudit. Omar Belhouchet et Chawki Amari condamnés à deux mois de prison ferme .
Chronique de # Chawki_Amari, # Point_Zéro | El Watan | 09/07/2020 BOUDIAF L'ASSASSIN... C’est évidemment un hasard, si la wilaya 19, Sétif, est celle la plus touchée par la …